-
Par Maitresse Aurel le 28 Août 2023 à 11:15
A la rentrée, ma classe de PS aura une mascotte toute neuve et trop craquante : Kimi la souris. Elle est l'élément central d'une démarche plus vaste visant à couvrir plusieurs domaines d'apprentissage.
La collection "J'apprends avec Kimi"
Elle a été conçue par Laurence Schmitter, enseignante spécialisée en maternelle et conseillère en pédagogie. Elle conçoit également des albums, des jeux éducatifs et des mallettes pédagogiques.
Comme indiqué dans l'introduction, cette méthode s’appuie sur l’utilisation d’une mascotte conçue pour les très jeunes enfants. Kimi est une mascotte attractive de 34 cm, une souris en velours qui a de grandes oreilles et de grands yeux afin d'être bien attentive en classe. ;-) Elle transporte avec elle un petit sac à dos et son doudou (comme les élèves de PS souvent).
L'intérêt de la mascotte Kimi
L'objectif est le même que pour toutes les mascotte qui peuvent être présentes dans les classes depuis toujours je pense :
- ÉVEILLER : être un outil de médiation langagière adapté aux jeunes élèves permettant d'entrer facilement en relation avec eux (notamment les plus timides), donner envie aux enfants d’imiter la mascotte et de s’engager à participer à des jeux et activités de faire-semblant, avec elle, éveiller leur curiosité et leur enthousiasme face aux apprentissages
- RASSURER : développer un lien affectif et émotionnel fort avec les enfants, apporter une sécurité affective, propice aux apprentissages dans un cadre qu’il connaît et trouve un écho à ses émotions.
- FEDERER : donner une identité à la classe, gérer avec bienveillance les situations quotidiennes (attention, niveau sonore, conflits…), aider les élèves à réfléchir et à résoudre des problèmes ensemble ...
- VALORISER : être et se sentir écouté, encourager ses petites réussites, jouer et créer un lien école-famille ...
Au fil de l'année et des séances, l'enseignant donne "vie" à la mascotte en la mettant en scène Kimi et en lui prêtant sa voix. Cela facilite l’introduction d’apprentissages didactiques ou pédagogiques dans des domaines variés (langage, numération, découverte du monde ...).
Les coffrets de la collection
La collection "J'apprends avec Kimi" se compose (au jour où j'écris cet article en tous cas) de 4 coffrets tous indépendants les uns des autres. De même, il est tout à fait possible de prendre la peluche Kimi comme mascotte de classe sans pour autant investir dans les coffrets (car les budgets sont ce qu'ils sont évidemment ...).
Pour ma part, je dispose de 3 coffrets : "Les mots du quotidien", "Mon corps" et "Atelier 1, 2, 3".
Je ne vous parlerai donc pas du coffret 'Les petits nombres" car je ne le connais pas mais vous pouvez le découvrir ici.
Chaque coffret offre à l’enseignant :
- - Une démarche de travail exposée dans un guide (ce guide est d’ailleurs disponible dans différentes langues afin de permettre de mener des séances d’éveil à la diversité linguistique)
- - De nombreuses activités (collectives, individuelles ou en groupes réduits)
- - Le matériel nécessaire pour mettre en œuvre les séances proposées
Les activités sont toutes pensées pour diversifier les situations d’apprentissages afin de multiplier les approches et expériences auprès des élèves : rituels, jeux d’imitation, activités sensorielles, comptines, résolution de problèmes …
Les mots du quotidien
Le coffret propose 28 activités de langage axées sur le jeu et la manipulation pour :
- oser entrer en communication : se présenter, écouter, prendre la parole, acquérir le vocabulaire de la vie quotidienne ;
- échanger et réfléchir avec les autres : questionner, évoquer une situation vécue, décrire un objet ;
- jouer avec les sonorités de la langue : réciter des comptines.
Voici une présentation détaillée du contenu du coffret :
Mon corps
Il propose 32 activités pour mieux connaître et prendre soin de son corps.
Elles suivent le principe d’une démarche scientifique pour permettre aux plus jeunes de découvrir leur corps, ses capacités et ses limites.
La boîte contient :
- 1 guide pédagogique présentant la démarche et les 32 activités pas à pas
- 1 pantin en bois articulé qui sert de médiateur pour amener les enfants à découvrir leur corps et à en parler
- 7 grandes images pour des affichages collectifs
- 19 cartes-images pour le déroulé des séances
Atelier 1, 2, 3
Ce coffret est légèrement différent des deux autres car il propose un atelier de situations-problèmes variées pour consolider les connaissances sur les quantités et les nombres jusqu’à 3.
Avec ce coffret, les élèves sont amenés à :
- reproduire et comparer les collections,
- dénombrer des quantités,
- lire les nombres écrits en chiffres,
- réaliser une collection de quantité donnée par une représentation du nombre.
Si vous voulez en savoir plus sur la collection Kimi, voici un lien qui vous mènera vers des extraits des guides pédagogiques de 3 de ses coffrets. Cela vous permettra d'avoir un aperçu du déroulé des séances proposées. ;-)
En espérant que cet article aura pu vous aider, vous servir ou vous inspirer. ;-)
votre commentaire
-
Par Maitresse Aurel le 26 Août 2022 à 20:24
Cet été, j'ai pris le temps de créer une nouvelle exploitation d'album à la manière de la démarche Narramus autour de l'album "Un travail de fourmis" du Père Castor. Vous trouverez l'ensemble des ressources sur lesquelles j'ai travaillé à la fin de cet article, après une petite explication rapide sur le pourquoi du comment de leur création. ;-)
Narramus, kézako ?
Depuis plusieurs années avec mes collègues de CP nous utilisons la collection Narramus des Editions Retz pour travailler la compréhension et apprendre à nos élèves à raconter une histoire.
Cette collection propose des exploitations d'albums allant de la PS au CP.
Nous avions démarré en testant "La chèvre biscornue". Comme nous avions toutes adoré la démarche pédagogique proposée et que les effets sur les élèves avaient été visibles, nous avons depuis fait l'acquisition de tous les tomes destinés aux GS-CP.
Ce que j'apprécie beaucoup c'est que la collection évolue en même temps que les élèves et s'adapte vraiment à leur niveau et aux compétences acquises au fil de l'année.
La dernière parution en date en est la preuve ! Dans ce dernier volume intitulé "Pêcheurs de couleurs" et destiné au CP-CE1, des activités supplémentaires sont proposées. En plus de celles qui permettent de développer les compétences narratives, des exercices de décodage, d'encodage et de lecture à voix haute sont inclus.
Nous l'avons exploité en classe en P5 et les élèves ont adoré !
Ils y ont retrouvé les éléments qu'ils adoraient dans les études d'albums précédents et ont pu aller plus loin. C'est là qu'ils se sont rendus compte qui oui, ça y est ! Ils savaient lire "pour de vrai" !
Narramus est un support qui est à mon sens plus que pertinent dans la cadre, par exemple, d'un projet de liaison GS-CP. Les GS peuvent ainsi raconter une histoire aux CP et les CP pourraient lire une histoire aux GS.
La collection Narramus est certes conséquente mais j'avais envie pour la rentrée de me pencher sur un album bien particulier qui ne figure pas dans la liste des ouvrages proposés ! J'ai donc décidé de créer les supports dont j'avais besoin pour mener à bien mon projet.Pourquoi avoir choisi cet ouvrage en particulier ?
Je souhaitais travailler sur un album que je puisse lier au projet d'EMC sur les valeurs essentielles de la classe.
A la rentrée, mes élèves auront ainsi deux animaux "totems" auxquels les valeurs de la classe seront rattachées. (Je reviendrais sur le détail de ce projet d'EMC qui évoquera à la fois des valeurs de comportement mais aussi de travail dans un article dédié).
La fourmi sera un de ces animaux totems et j'ai donc choisi un album évoquant cet animal précis : "Un travail de fourmis".
Après une cascade d'éternuements, Ours se trouve enfermé dans sa grotte dont l'entrée est bouchée par un rocher. Une petite fourmi a entendu les appels d'Ours et demande du secours aux autres animaux. Mais ceux qui viennent tentent vainement de bouger le rocher et c'est finalement la petite fourmi et cent mille autres fourmis qui arriveront à l'enlever.
Dans cette histoire, la fourmi joue un rôle essentiel et même décisif qui permet de comprendre que ce n'est parce qu'on est petit qu'on ne peut pas faire la différence.
C'est un point que je met en avant le début d'année avec mes CP car d'une part ils sont les plus petits de l'école et les plus grands ont tendance à penser qu'ils ne peuvent/savent rien faire (ce qui est totalement faux évidemment !) et d'autre part parce qu'au sein même de la classe, chacun peut faire ou fait la différence, pour les autres mais aussi pour lui-même.
Cet album que j'adore n'étant pas proposé dans la collection Narramus, j'ai retroussé mes manches afin de me le "fabriquer" moi-même et mener ainsi ce projet à bien.
Les supports mis à disposition
Vous trouverez donc ci-dessous les différents outils créés pour exploiter cet album avec mes élèves :
- Les personnages pour la pochette à conter du centre de langage oral
- Le diaporama de mise en mémoire des mots semblable à ceux de la démarche Narramus. J'ai fait en sorte qu'il soit dans un format adapté à l'impression de mode "plusieurs feuilles par page" afin de pouvoir réaliser les étiquettes-mots et les ajouter à la pochette à conter.
- Un déroulé de l'exploitation de l'album en 7 modules et prêt à être projeté et suivi en classe avec les élèves.
Si jamais vous utilisez ces supports, n'hésitez pas à m'en faire un retour afin que nous puissions l'améliorer ensemble si besoin.
Merci d'avance ! ;-)
21 commentaires
-
Par Maitresse Aurel le 24 Janvier 2021 à 09:16
L'an dernier, après avoir étudié l'album "LA moufle" version Narramus (documents disponibles ici), mes élèves avaient tous fabriqué une moufle de narration pour raconter l'histoire à leur famille en fin de projet. Je renouvelle ce projet cette année. C'est donc l'occasion de vous en faire un petit retour rapide.
Pour fabriquer cette moufle (ou plutôt CES moufles car chaque élève a créé deux parties à assembler), j'avais imprimé les dessins sur du canson.
Les enfants avaient pu décorer les moufles à la craie grasse avant de les peindre avec de l'encre pour un effet juste Wouahou !Après découpe et plastification (pour que la moufle résiste à l'utilisation en classe et à la maison), ils avaient fait un peu de "tricot" en passant de la laine sur le pourtour de leurs moufles (j'avais troué moi-même les moufles au préalable ;-)).
Astuce : pour éviter que le fil de s'effiloche trop et que les élèves aient du mal à le passer dans les trous, mettez un bout de scotch à l'extrémité afin qu'il ressemble à un lacet. ;-)
Pour faire tenir les deux côtés ensemble, j'avais utilisé des petits scratchs autocollants trouvé sur internet. Ainsi, tout pouvait rester bien ensemble et les enfants ne pouvaient rien perdre. ;-)
Nous avions ensuite ajouté un fil qui sortait de la moufle et sur lequel les personnages coulissaient pour " rentrer " dans la moufle au fur et à mesure que l'enfant raconte l'histoire.
Et, à la fin (pardon pour le spoil qui va suivre si jamais vous ne connaissez pas l'histoire ... lol), les enfants pouvaient véritablement faire "exploser" leur moufle en dé-scratchant les deux côtés d'un seul coup ce qui faisait sortir tous les personnages, comme dans l'histoire.
Si jamais ce projet vous tente, voici les documents que j'ai utilisé pour le mener avec mes CP.4 commentaires
-
Par Maitresse Aurel le 15 Avril 2020 à 20:32
Au cours d'une formation à laquelle j'ai pu participé, j'ai pu découvrir plusieurs applications à mettre au service du langage oral en classe. Je prends le temps de vous présenter les 3 qui m'ont le plus plu et que j'ai déjà eu l'occasion d'essayer, avec mes élèves et/ou à la maison avec mes petits loups, pour passer le temps en confinement.
CHATTER PIX FOR KIDS
Chatter Pix for Kids est une application permettant de faire parler n'importe quel objet, peluches, etc ... Une appli idéale pour mener des projets de langage oral et/ou de photographie dès la maternelle.
Elle est très simple d'utilisation même pour de jeunes enfants :
1) On prend une peluche en photo (où tout autre chose que l'on souhaite faire parler).
2) On lui trace une bouche à l'aide de l'outil proposé dans l'application.
3) On enregistre les paroles que l'on souhaite lui faire prononcer .
4) On personnalise la vidéo selon ses envies (stickers, texte ...).
5) On regarde sa création et/ou on l'enregistre sur le téléphone si on souhaite la conserver.
Voici quelques petites photos pour vous présenter toutes ces étapes en images, depuis l'application.
En classe ou à la maison, c'est un support très sympa pour travailler où même simplement s'amuser et passer un peu le temps.LEXIMAGE
Leximage, une application permettant de créer des lexiques sonores personnalisés.
Grâce à elle, on peut créer les catégories de lexique que l'on souhaite travailler avec nos élèves (au fil de l'année ou selon nos projets de classe (par exemple Fleurs, Animaux, Métiers ...)).Une fois les catégories créées, il suffit de prendre des photos des mots de vocabulaire que nous souhaitons y faire figurer (ou de charger directement des photos depuis Internet).
On peut ensuite enregistrer pour chaque image des sons de référence comme par exemple le nom de l'objet, son bruit (s'il en a un !), etc ... Les enfants peuvent ensuite (selon les modalités définies au sein de votre classe bien sûr) disposer du lexique sur une tablette, découvrir le vocabulaire, entendre les mots référents, etc ... pour construire leur culture lexicale.
Leximage me semble être un excellent support pour le langage oral mais aussi pour les élèves allophones où chacun pourra se construire son lexique au fur et à mesure de ses apprentissages et de ses découvertes.COM-PHONE
Com Phone Story Makers est une application gratuite également, qui permet de créer des livres audio. (Disponible uniquement sous Android).
Un support au top pour le langage oral et parfait pour créer des livres personnalisés.
L'application est très simple d'utilisation et même ultra facile à prendre en main par les enfants eux-mêmes. Les pictogrammes, les couleurs, etc ... leur permettent de l'utiliser en autonomie.
Pour créer son livre, rien de plus facile : on prend une photo, on y associe un ou deux enregistrements (la parole de l'enfant décrivant l'image et une musique de fond par exemple), on ajoute du texte si on le souhaite, on combine l'ensemble et HOP !
Voilà une première page de livres audio !
Il est possible de créer plusieurs pages et, une fois assemblées, on obtient un livre à écouter où l'enfant pourra s'entendre raconter une histoire ou même décrire son histoire.Nous en avons créés plusieurs avec mes enfants ces derniers jours mais je ne parviens malheureusement pas à en charger un extrait ici pour vous montrer le rendu possible. :-(
J'espère malgré cela que ces petites applications pourront vous plaire et vous servir autant qu'elle me font fourmiller d'idées pour ma classe.
votre commentaire
-
Par Maitresse Aurel le 6 Février 2020 à 00:00
Il y a deux ans, je vous présentais rapidement dans cet article le la Fabrique à histoires de Lunii que j'avais pu découvrir à Paris. Pour la première fois cette année j'ai pu l'utiliser en classe non seulement pour travailler la compréhension mais aussi au cours d'un projet court autour du langage oral. Je vous raconte donc dans cet article le déroulé général de ce mini-projet qui pourra peut-être vous intéresser.
La Fabrique à histoires, qu'est-ce que c'est ?
C'est une petite boîte qui permet à l'enfant de composer son histoire.
Pas d’écran, place à l’imagination !
Les enfants choisissent les différents éléments qui composeront leur histoire : un héros, un compagnon, un lieu et un objet.
48 histoires sont incluses dans la boîte de base et des centaines d’autres peuvent être téléchargées sur le Luniistore.
Voici une petite vidéo qui vous permettra de mieux vous rendre compte du fonctionnement de la Fabrique à histoires.
La Fabrique à histoires en classe
Mes enfants disposent de la Fabrique à histoires depuis deux ans maintenant et ils l'adorent ! Ils me l'ont gentiment prêté pour quelques jours afin à la prêter à ma classe et lancer ainsi un projet de langage oral un peu différent de ceux menés d'ordinaire en classe.
Le programme de français de cycle 2 comprend le langage oral comme objet d'enseignement. Comme à l'école maternelle, l'oral fait l'objet de séances d'enseignement spécifiques. « Développer la maîtrise de l'oral suppose d'accepter essais et erreurs dans le cadre d'une approche organisée qui permet à chaque élève de produire des discours variés, adaptés et compréhensibles et ainsi de conquérir un langage plus élaboré » (programme de cycle 2, 2018).
C'est dans cette perspective que s'est déroulé notre projet en lien avec la Fabrique à histoires.
Le but de la Fabrique à histoires est, comme dit plus haut, de donner aux enfants la possibilité et la liberté de créer leur propre histoire. Dans le projet que je vais présenter ci-dessous, ce n'est pas le cas.
J'ai décidé en effet de ne pas les laisser les élèves choisir leur histoire pour plusieurs raisons :
- C'est la première fois qu'ils utilisaient la Fabrique. Même si les boutons et l'utilisation est très simple, je voulais dans un premier temps leur permettre de découvrir son fonctionnement sans se "perdre" dans toutes les possibilités d'histoires possibles.
- En imposant les éléments, je savais quelle histoire ils allaient tous entendre. Je pouvais donc plus facilement anticiper la narration et même tout simplement connaître moi-même l'histoire en question et préparer le tapuscrit de l'histoire d'origine.
Pour un premier projet, j'ai donc joué la carte de la sécurité en cadrant au maximum l'utilisation de la boîte pour pouvoir venir en aide aux élèves plus facilement en cas de souci technique ou de difficulté de compréhension au fil des étapes.
Aussi, et après avoir travaillé le langage oral (et plus particulièrement la compétence "savoir raconter une histoire connue") en centre guidé au fil des 3 premières périodes grâce aux supports de la méthode Narramus (La chèvre Biscornue, Les deniers de Compère Lapin) et une adaptation de la méthode sur l'album La moufle, les élèves ont pu cette fois remettre en pratique leurs connaissances sur la narration mais dans un autre contexte.
Le projet s'est déroulé en 3 phases principales toutes menées en centres d'autonomie (mis à part certaines dictées à l'adulte qui ont été réalisées en individuel avec moi suite). Ils ont ainsi eu à respecter certains impératifs déjà vus en classe comme : je parle au passé, je commence ma phrase par un connecteur, je ne répète pas ce qui a déjà été dit, je n’avance pas trop vite dans l’histoire, j’articule et parle fort pour bien me faire entendre ...
NB : Entre la phase 2 et la phase 3, les élèves ont pu s'entraîner en binôme, réécouter l'histoire, ...
Maintenant que les élèves connaissent la Fabrique à histoires et en maîtrisent bien le fonctionnement, il sera désormais plus facile de l'utiliser dans d'autres contextes d'apprentissage (comme la compréhension orale par exemple) et afin de viser d'autres objectifs également. (Ce ne sont pas les idées qui manquent ... ;-p)
Cécile, une cybercollègue, nous partage l'arborescence qu'elle a créé pour que ses élèves et ses enfants puissent savoir quelles histoires ils ont déjà pu écouter. Merci à elle pour cette contribution !
Si vous souhaitez développer les activités en lien avec le langage oral, vous pouvez en trouver sur Eduscol en suivant le lien de l'image ci-dessous. Les activités proposées sont toujours des sources d'inspirations intéressantes quand elles ne sont pas déjà des séquences clés en main faciles à mettre en oeuvre en classe.
7 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique